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Casques Biltwell : un vent américain de qualité et de sobriété

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Vous connaissez Biltwell ? Sous le soleil de Californie, entre Los Angeles et San Diego, cette marque de casques et d’accessoires a été fondée en 2005 avec des valeurs fortes et un objectif précis.

Rejetant les produits bling-bling et trop chers à destination des motards, Biltwell entend revenir aux sources avec des produits de qualité tout en misant sur la sobriété : la marque américaine conçoit chaque produit en suivant des standards de fonction, de performance et de prix qui ont du sens pour les motards. Biltwell est présent en ce moment à l’EICMA de Milan sur le stand de Parts Europe, distributeur de la marque sur le continent européen.

Dans la nouvelle gamme Biltwell, on retrouve le Lane Splitter, un casque déjà existant et disponible tout de suite : cet intégral au look vintage est disponible en 10 coloris et avec des tarifs publics allant de 229 € à 274 € pour la belle version limitée Rusty Butcher créée en collaboration avec la marque de vêtements du même nom.

La grosse nouveauté de la collection 2019, c’est l’apparition du modèle Gringo en France. Jusque-là, le Gringo possédait la norme américaine (DOT) et n’était pas importé en Europe. Il a obtenu la norme européenne (ECE) et sera désormais présent sur notre marché. Cet intégral au design minimaliste et aux formes rondes est disponible en version standard ou en version S avec un écran. Le Gringo s’affichera à un tarif public de 172 € et le Gringo S à 217 €. Les deux versions seront disponibles dès la fin du mois de novembre 2018.

Biltwell permet également de personnaliser son casque en proposant des écrans en plusieurs couleurs pour chacun des modèles. Le Gringo pousse la customisation plus loin puisqu’il peut être équipé d’une visière et d’un masque, également disponibles en différentes couleurs.

Let’s hit the road !

Nicolas
Nicolas
Je suis convaincu que la passion nous emporte loin...surtout si on y va à moto ! Avec mon supermotard 50 cm3 à mes débuts jusqu'à ma sportive 1000 cm3 aujourd'hui, je roule depuis 15 ans. Je roule en ville et en montagne, sous le soleil et la pluie, sur la route et sur circuit : pour moi, la moto se vit 365 jours par an. Si on partage cette passion ensemble, c'est encore mieux, non ? Alors c'est parti : live, love, ride !
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