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#ICASQUEDATE3 : 5 raisons qui ont fait de cette journée un événement inclassable

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Le 7 juillet dernier, la #ICASQUEDATE a fait son retour pour sa troisième édition. Le mot d’ordre de cet événement ? Se rassembler et se faire plaisir ! Tu n’as pas pu être présent ? Pour te rattraper, je t’emmène avec moi en immersion dans cette journée et je te raconte les 5 raisons pour lesquelles cette journée s’est transformée en un événement inclassable !

A Nice, le réveil a sonné tôt à l’aube de ce 7 juillet : une fois mon sac de selle chargé sur ma moto, j’ai pris la route à 6h du matin en direction du Circuit du Var, au Luc. Je peux te dire que ça pique les yeux, mais il faut savoir ce que l’on veut ! Heureusement, tout au long de la journée, la #ICASQUEDATE3 m’a confirmé une chose : j’avais bien fait de me lever tôt.

 

1 – Poser ses roues sur circuit dans un super lieu… Et gratuitement !

La #ICASQUEDATE3 s’est déroulée sur le Circuit du Var, situé au cœur de la Provence. C’est un coin très sympa : baigné par le soleil du Sud et construit au milieu d’une pinède, ce circuit est un lieu iconique des sports mécaniques dans la région PACA et fête d’ailleurs ses 50 ans cette année. Joyeux anniversaire et longue vie à toi cher circuit ! Au cours de l’événement, 160 chanceux ont pu effectuer des sessions de roulage sur la piste, le tout gratuitement s’il te plaît ! Tout ce beau monde était réparti en 3 groupes : les Pistards, essentiellement des motos sportives, puis les Motards, c’est-à-dire la catégorie pour tous les types de motos, et enfin les Supermotards, les motos stars des Youtubers ! Franchement, tu en connais beaucoup des événements moto qui te permettent de rouler gratuitement sur un circuit ? Moi non, alors merci la #ICASQUEDATE3 !

C’est parti pour la première session Supermotards de la journée ! (Crédits : Always Photo)
Au menu du jour, on se fait plaisir et on se tire la bourre. Que demander de plus ? (Crédits : Photo Illico Presto)

Pour ceux qui roulent, le circuit est plutôt facile à mémoriser mais il est plus technique qu’il n’y paraît si on commence à vouloir mettre du gros gaz. Pour les copains qui admirent le spectacle, une passerelle permet d’accéder au cœur du circuit et de se déplacer pour observer les motards quasiment dans tous les virages et sous tous les angles : plutôt cool ! Si le Circuit du Var profite du soleil du Sud, je peux te dire que le soleil qui s’est pointé pour cette #ICASQUEDATE3 n’a pas fait semblant de participer ! A 8h30, j’ai effectué ma première session sur la piste et c’était également la première session du jour. Malgré l’heure matinale, le thermomètre affichait déjà une température folle : 34°C !

Les riders qui ont pu poser leurs roues gratuitement sur la piste en ont bien profité toute la journée, offrant un panorama bien diversifié de scènes de roulage. Comme le montre la série de photos ci-dessous, on pouvait par exemple observer des supermot’ plein angle, d’autres supermot’ mettant de l’angle à une seule main, des pilotes en sportive à l’attaque dans les virages à gauche, des marshalls de LGS Events en mode grosse attaque dans les virages à droite, deux paires de motos ayant peut-être décidé de recréer le drapeau bleu-blanc-rouge de la France en roulant côte à côte, des motos évoluant en groupe et donnant l’impression d’une entrée de virage en MotoGP (avec la vitesse en moins), deux sportives entièrement noires et à l’allure démoniaque se tirant la bourre et enfin des supermot’ avec des ailes de papillon tentant de s’envoler en wheeling ! Et oui, il ne faut pas hésiter à avoir des grands rêves !

Crédits : Photo Illico Presto
Du bord de la piste, le public profite des motos qui soudent la poignée ! (Crédits : Nicolas Bassand)
Dans la ligne droite du circuit, chacun son style : tête dans la bulle pour l’aérodynamisme, une combinaison rose bonbon pour le style ou un petit wheeling avec un passager sur la moto par l’instructeur de LGS Events ! (Crédits : Nicolas Bassand)

 

2 – On mélange tout le monde et c’est parti dans une belle ambiance !

Une foule de passionnés de moto sous le soleil du Circuit du Var ! (Crédits : Nicolas Bassand)

Maintenant que tu sais où on était pour la #ICASQUEDATE3, tu dois te demander : on a mis qui dans cet événement au juste ? La réponse est simple : tout le monde ! Cette journée était un rassemblement de passionnés de moto, tout simplement : des gens comme ton voisin, ton cousin, ton boulanger, ou encore toi et moi. En fait, la #ICASQUEDATE, c’est un grand « melting pot » de la moto ! Des adolescents en 50 cm3 jusqu’aux adultes avec leurs grosses bécanes de plus de 1000 cm3, tout le monde était mélangé dans le paddock et au bord du circuit : on était tous de grands enfants partageant une passion commune dans une ambiance bien détendue comme on les aime.

La bonne ambiance règne dans les allées de la #ICASQUEDATE3 ! (Crédits : Nicolas Bassand)

Dans ce grand mélange à l’esprit motard, on a été servi par une belle variété de motos lors des sessions de roulage sur piste. On pouvait par exemple voir des gros roadsters et des gros trails sportifs jouant au chat et à la souris, des sportives préparées, d’autres trails de voyage en solitaire, ou encore des supermotards…avec le genou par terre en prime !

Crédits : Photo Illico Presto

Sur ce terrain de jeu d’habitude réservé aux adultes, la #ICASQUEDATE3 a également affiché son esprit de partage puisque les ados ont eu, eux aussi, le droit à leur moment de gloire : 30 chanceux âgés de 16 à 18 ans et titulaires du permis A1 ont gagné une découverte de la piste. Au guidon de leurs machines de 125 cm3, nos jeunes riders ont effectué quelques tours de circuit, encadrés par les marshalls de LGS Events. Ils étaient impatients et on les comprend ! Quand j’ai passé mon permis A1 et que je roulais avec ma Yamaha TDR 125, j’aurais moi aussi adoré m’aventurer sur circuit !

Les motos 125 cm3 s’apprêtent à démarrer leur découverte du circuit ! (Crédits : Always Photo)

Toujours sur le bitume du circuit, chacun prenait du plaisir à sa manière : poser le genou et faire frotter le slider, rentrer des wheelings ou réussir quelques glissades sur les gros freinages. Bref, il y en avait pour tous les goûts. Au milieu de cette grande cour de récré, on pouvait observer deux (très) jeunes spécimens qui n’étaient pas venus pour jouer aux billes : Alexis Boudin et Gregory Carbonnel. Ces deux-là évoluent en compétition et ont profité de leurs sessions de roulage pour s’entraîner et chasser le chrono ! Alexis Boudin est un garçon de 13 ans qui vit à Toulon dans le Var. Il est pilote depuis l’année dernière en Championnat de France dans la catégorie Objectif Grand Prix / Pré-Moto3, un championnat très disputé regroupant des motos de 250 cm3 et qui permet aux jeunes espoirs de la vitesse française de faire leurs armes pour tenter d’évoluer ensuite vers les championnats internationaux. Bourré de talent, Alexis est le plus jeune pilote de sa catégorie : qu’importe l’âge, cela ne l’empêche pas d’être actuellement leader du championnat ! Bravo ! Alexis a également fait partie de ZF Grand Prix School, l’école de pilotage moto créée par le pilote de MotoGP Johann Zarco et son coach Laurent Fellon. Zarco est l’une des idoles d’Alexis, qui rêve d’une carrière similaire à celle du double Champion du Monde. Le deuxième chasseur de chrono du jour s’appelait Gregory Carbonnel et est justement l’un des cinq pilotes officiels de l’école ZF Grand Prix. Âgé de 15 ans et originaire de Nice dans les Alpes-Maritimes, Gregory évolue en Championnat de France Promosport 400. Ci-dessous, on aperçoit Alexis Boudin, avec son casque bleu et jaune fluo, qui se concentre avant de rentrer sur le circuit. Gregory Carbonnel, qui porte fièrement le numéro 5 de son professeur Johann Zarco sur sa moto, fait également le vide avant d’attaquer sérieusement sur la piste !

Crédits : Always Photo, Nicolas Bassand, Photo Illico Presto

Pour les motards présents sur la piste à la #ICASQUEDATE3, se faire doubler en plein virage par Alexis ou Gregory, malgré le manque de puissance de leurs motos, représentait le plaisir d’être aux premières loges pour témoigner d’une trajectoire incisive et un angle de cochon. Ça permettait aussi de recevoir une belle leçon d’humilité !

Le grand melting pot de motards de tous les horizons était aussi symbolisé par la présence de nombreuses teams et crews aux inspirations variées : Asphalt Trainers, Supermot’PACA, Team Hurricane, SpartMotard, Braaaap Squad, Road Troopers et bien d’autres. Ces bandes de potes se rassemblent autour de valeurs communes, d’un nom et d’un groupe sur les réseaux sociaux, pour ensuite partager leurs aventures à travers Facebook, Instagram et YouTube notamment. Pour toutes les teams présentes, la #ICASQUEDATE3 était une occasion de se retrouver, d’échanger avec leur communauté et également d’être visible au-delà de leur base de fans. En marge de tout ça, il y avait aussi une team un peu particulière, une team sans moto mais avec beaucoup de talent d’organisation pour gérer cet événement de main de maître : la team des ICASQUEGIRLS ! Comme tout bon membre du public qui se respecte, j’ai même eu le droit à ma photo officielle en leur compagnie !

ICASQUEGIRLS power! (Crédits : Always Photo)

3 – Une occasion unique pour la nouvelle génération de motards de rencontrer ses héros

La grande spécialité de la #ICASQUEDATE, c’est d’être le seul rassemblement de Youtubers motos et motovloggers en France, rien que ça ! Pour cette troisième édition, on pouvait retrouver (et bien sûr checker) Jorian Ponomareff, Kikaninac, 100% Bitume, Mehdiator, Walane, Paulianef, Bibix, Ride My Dream, Qwerty Julien et Rupture : ils étaient tous là ! Ces Youtubers représentent des icônes du monde de la moto auprès de la nouvelle génération de motards, notamment les adolescents et les jeunes.

Jorian Ponomareff en pleine discussion avec ses fans au milieu du paddock. (Crédits : Always Photo)

Je ne vais pas te mentir : je ne fais pas partie de la nouvelle génération de motards et les Youtubers ne sont pas mes héros. Mais je ne vais pas non plus rentrer dans la caricature du vieux motard grincheux affirmant qu’il a vécu sans internet et que c’était mieux comme ça… Tout simplement parce que je ne suis pas vieux, je ne suis pas grincheux et j’adore internet ! Je me souviens quand même que lorsque j’ai commencé la moto, internet commençait à peine à se démocratiser dans les foyers français et j’accédais à ma première connexion au web grâce à mon modem déterré de la préhistoire. C’est donc essentiellement au travers des magazines que j’ai développé ma culture moto : mes héros du monde de la moto sont devenus les journalistes « traditionnels » et les pilotes que je suivais en compétition. Mais ce n’est pas ça qui est important : ce qui me fait plaisir, c’est que chacun vive sa passion de la moto à sa manière. C’est pour ça que les Youtubers ne sont pas mes icônes mais je les respecte pour leur passion, leur volonté de partager cette passion à leur communauté et leur capacité à être proche de leur public.

Aujourd’hui, les communautés de fans se projettent dans les univers de leurs Youtubers, vivent plongés dans leur quotidien et suivent leurs aventures toute l’année. Les fans peuvent même porter les couleurs de leurs Youtubers préférés, partager leurs convictions et slogans à travers les produits dérivés. Tous les rencontrer lors d’un événement comme la #ICASQUEDATE, c’est une opportunité tout simplement énorme ! En vivant la #ICASQUEDATE3 au milieu des Youtubers et de leur public, j’ai donc été le témoin de belles scènes de partage. Quel plaisir de voir cette excitation ! Les centaines de casquettes dédicacées et les milliers de selfies ont été les totems de ces rencontres. Certaines personnes du public étaient même présentes devant la porte de l’espace VIP dès 7h30 du matin, pour espérer apercevoir les Youtubers à leur passage. Que ce soit lors des séances de dédicaces, tout au long de la journée sur la piste ou dans le paddock pour des discussions informelles, les Youtubers ont généré un engouement permanent et ils ont bel et bien été les stars de la journée.

Avalanche de selfies avec les Youtubers tout au long de la journée ! (Crédits : Always Photo)

4 – Des shows pour des sensations fortes et un hommage à l’équilibre

Au cours de cette #ICASQUEDATE3, des shows de stunt et de trial ont régalé le public, tout en mettant en lumière un élément fondamental de la pratique de la moto. Que dis-je, une donnée physique essentielle : l’équilibre bien sûr !

Des motos dans tous les sens avec les Switch Riders ! (Crédits : Nicolas Bassand)

Plusieurs shows de stunt ont été assurés par les Switch Riders, une équipe française de stunt convaincue qu’il n’y a aucun endroit où tu ne peux pas rouler (il s’agit de leur slogan en anglais) : les pilotes n’ont pas épargné la ligne droite du circuit et ils ont autant chauffé la gomme que le public ! Quand tu les regardes, tu oses à peine imaginer les centaines d’heures de pratique et d’entraînement pour arriver à ce niveau de maîtrise. Pour les show de trial, c’est Gaël Prieto qui s’en est donné à cœur joie devant le public. Le gars maîtrise sa moto de trial comme un jouet ! Il ne fallait pas être fragile du cœur quand il posait ses roues à quelques centimètres de sa partenaire !

Gaël Prieto et sa moto de trial m’ont donné quelques sueurs froides ! (Crédits : Nicolas Bassand)

5 – Des discussions sympa avec des représentants de l’écosystème moto

La #ICASQUEDATE a réuni plusieurs marques et acteurs représentatifs du monde de la moto : c’est au plus près d’eux, dans des discussions entre passionnés, qu’on apprend toujours beaucoup de choses. Le présence de la marque Sena, fabricant de technologies de communication à moto, m’a par exemple permis de me familiariser avec les détails de la technologie embarquée sur le Momentum INC, le casque nouvelle génération fabriqué par Sena et équipé d’un système de communication et d’un système intelligent de contrôle du bruit extérieur. Sur le stand de la marque de casque Shark, j’ai pu admirer en vrai les trois casques Race-R Pro GP Winter Test, les répliques des casques utilisés pendant les tests hivernaux 2018 du MotoGP par Johann Zarco, Jorge Lorenzo et Scott Redding. De belles pièces rares car limitées à 1500 exemplaires dans chaque version !

Le Sena Momentum INC, un concentré de technologie à lui tout seul, et les versions limitées des casques Shark des pilotes de MotoGP. (Crédits : Always Photo)

Personnellement, j’adore comprendre le côté technique des équipements moto alors j’avoue que j’ai pas mal traîné sur le stand de Furygan. La marque française exposait des combinaisons appartenant à des pilotes et j’ai appris des détails intéressants sur leur personnalisation. En compétition, chaque détail compte et le travail effectué sur mesure pour chaque pilote va même jusqu’aux protections de coude : sur les combinaisons de Lucas Mahias, Johann Zarco et Jules Danilo, tous les trois pilotes Furygan, on retrouve trois modèles différents. Sur la photo ci-dessous, en plus de la protection de coude en matière D3O placée à l’intérieur du cuir et que l’on ne voit pas, on peut observer les différences pour les protections extérieures. De gauche à droite : protection en plastique sans slider de coude pour Lucas Mahias, slider de coude sans protection en plastique pour Johann Zarco et enfin un combiné avec protection en plastique et slider de coude pour Jules Danilo.

Voilà le summum de l’adaptation aux besoins ! (Crédits : Nicolas Bassand)

Enfin, au-delà des équipements, j’ai pu échanger sur le métier de préparateur moto avec deux ateliers de préparation de la Côte d’Azur : Ortolani Customs, basé à Saint-André-de-la-Roche, et Duke Motorcycles en provenance de Tourrettes-sur-Loup (ça n’a rien à voir, mais sache que c’est dans ce village que tu trouveras tout simplement le meilleur Pan Bagnat du monde. Contacte-moi et je te donnerai peut-être le secret). Les deux workshops exposaient quelques prépas très sympa honorant la tendance du café racer épuré.

En noir et blanc, les préparations se sont mises sur leur trente-et-un. (Crédits : Always Photo)

 

Bonus : le meilleur pour la fin !

Pour moi, il y a eu en réalité une 6ème raison qui a fait de la #ICASQUEDATE3 un événement inclassable. Sans que je m’en doute, le meilleur avait été gardé pour la fin : cette dernière grosse surprise, c’était ma cerise sur le gâteau, le bonus qui m’a permis de finir la journée en beauté. En un mot, comme dans le film Le Dîner de cons mais pour de meilleures raisons, je pourrais résumer en disant que « ça dépasse tout ce que j’ai pu imaginer » ! Alors, c’est quoi ce bonus ? Pour le moment, je garde le suspense et je te montre juste la tête que j’ai fait. Mais ne t’inquiète pas : je te raconte tout ça très bientôt en mots, et surtout en vidéo, dans un prochain article !

Nicolas
Nicolas
Je suis convaincu que la passion nous emporte loin...surtout si on y va à moto ! Avec mon supermotard 50 cm3 à mes débuts jusqu'à ma sportive 1000 cm3 aujourd'hui, je roule depuis 15 ans. Je roule en ville et en montagne, sous le soleil et la pluie, sur la route et sur circuit : pour moi, la moto se vit 365 jours par an. Si on partage cette passion ensemble, c'est encore mieux, non ? Alors c'est parti : live, love, ride !

6 commentaires

  • Je confirme, cet événement est vraiment inclassable !

    iCasque est au dessus de tous en organisant ce genre de journée/week end, cela nous permet de retrouver tous les potes sur un seul et même événement, des potes qu’on ne voit ne jamais car souvent ils habitent aux 4 coins de la France et on les rencontre sur les réseaux au travers de notre passion, ils nous laissent mettre un bordel monstre sur une belle piste, le tout avec une gentillesse et une organisation de dingue de la part de toute l’équipe !

    Alors merci ! Vous êtes au top et vivement l’an prochain !

    #BRAAAP

    • Salut Maxity, merci pour ton beau commentaire ! C’est vrai que le fait de pouvoir se retrouver des 4 coins de la France dans un seul événement à la bonne ambiance est déjà une très bonne chose. Mais quand on peut le faire sur la piste d’un circuit, c’est encore mieux ! 🙂
      Bonne continuation sur les routes en supermot’ et à bientôt !

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